Les aventuriers de HubSpot S01E02 : HubSpot à la conquête des entreprises du Moyen Orient
Dans ce 2e épisode du podcast « Les Aventuriers de HubSpot by 1min30 », Gabriel Dabi-Schwebel, fondateur de 1min30 et partenaire de HubSpot, a interviewé Yacine Amarir, Team Lead Middle East et Africa chez HubSpot.
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En résumé
Dans cette Interview, Yacine Amarir est revenu sur les différences entre le marché français et le marché du Moyen-Orient ainsi que la nécessité de s’adapter à la culture locale pour mieux répondre aux besoins du client : « Les grosses entreprises et les Mid Market Corporate connaissent ce qu’est un CRM. Mais sur le Moyen-Orient et l’Afrique, ça reste quand même quelque chose d’assez nouveau », a-t-il remarqué.
Pourtant, beaucoup de ces entreprises continuent à utiliser manuellement Excel pour gérer les tâches et même les bases de données clients. « C’est pourquoi il faut leur expliquer la valeur ajoutée d’un CRM »
Pour s’y faire, Yacine met toujours en exergue les points suivants durant son discours avec ses prospects :
– La nécessité de placer le client au centre de toute prise de décision pour n’importe quel département qu’il soit marketing, commercial ou service après-vente ;
– ces départements doivent communiquer efficacement entre eux même s’ils ont des responsabilités différentes.
En deuxième phase, Yacine challenge l’entreprise par une série de questions: « Là où moi je vais aller les challenger, c’est de demander à quoi sert votre département marketing ? Quelle est leur responsabilité ? Quel est votre retour sur investissement sur ce département marketing ? Et puis je fais pareil sur le département service après-vente ».
Objectif : leur faire prendre conscience que tous les départements doivent être amenés à travailler via un seul et unique outil qu’est le CRM, tel que HubSpot.
« Ça peut m’arriver de discuter avec des clients. Ils dépensent 50 000 $, même 100 000 $ dans de la publicité. Mais à la fin, ils ne sont pas capables de me donner le taux de conversion et le nombre de deals que ces ads ont généré », a ajouté Yacine Amarir. « Donc, il y a de l’argent. Il y a du budget. C’est juste qu’ils ne s’investissent pas dans les bons outils, pour notamment avoir un retour sur investissement ».
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